En mai 2019, nous étions allés filmer le début d’installation du lieu de vie de Sophie et Yoann qui avaient suivi notre formation en ligne, pour apprendre à concevoir son jardin en permaculture.
Dans cette vidéo, vous allez découvrir l’évolution de leur lieu et vous allez voir que cela a vraiment bien changé.
Yoann et Sophie nous livrent également leur retour d’expérience très intéressant sur la mise en place de leurs projetset tout ce qu’ils ont traversé au fil des années.
Allez, c’est parti !
Ci-dessous retranscription de la vidéo
Micro-ferme en permaculture : l’évolution en 3 ans
Est-ce que c’est rentable, si tu prends le vieux précepte de l’économie où tu rentres de l’énergie et tu sors du financement ? Non !
Si c’est rentable par contre où tu rentres de l’énergie et tu ressors à manger pour toi et une communauté assez proche, voisinage, etc. voilà…
Alors là, oui, c’est très efficace ; parce que ça crée du tissu social et tu vois, il y a des gens qui viennent, ça discute et ça à mon avis c’est plus important pour les années qui viennent, que savoir le rendement de énergie/finances.
La ferme Carrassonne : une micro-ferme familiale avec du maraichage, des plantes médicinales, des animaux…
Ça s’appelle toujours la ferme Carrassonne du coup et donc, on a continué à travailler sur la ferme, continué à diviser, à morceler le terrain pour faire plein de petits espaces.
👉 Pour voir la vidéo de notre première visite chez Sophie et Yoann, c’est par ici.
Donc là, on est dans la partie parking, accueil donc bienvenue !
Quelques animaux en plus, quelques activités en moins, en plus enfin voilà. Un jour par semaine pour le moment, on fait la vente en direct à la ferme. Donc c’est le mardi.
On fonctionne pas mal avec les réseaux aussi, le bouche-à-oreille.
Ça reste une petite activité très locale et c’est le voisinage et puis assez proche quoi !
Comment Sophie et Yoann ont-ils créé leur micro-ferme pédagogique ?
Donc là, on est dans la partie accueil à proprement dit, donc c’est la partie qu’on a dédiée pour les gens qui viennent… c’est la partie un peu ludique, accessible.
C’est une corde qu’on a rajoutée à l’arc aussi.
On reçoit des écoles qui viennent, on a fait un petit programme pédagogique et on a plusieurs cycles qui viennent visiter la ferme, ça va des maternelles jusqu’au CM2.
Et, ce qui est chouette, c’est que c’était un programme où en fait, ces mêmes classes venaient trois fois.
Donc là, on les accueille bientôt pour la dernière fois donc ils ont pu voir comment est la vie de la ferme l’hiver donc quand tout est endormi, au printemps quand tout se réveille pour planter les légumes.
Et là, ils vont venir voir… on est quasiment en été, le plein boom de la ferme et c’est hyper chouette de partager ça avec eux.
Ils ont des yeux comme ça !
En tout cas, les maîtresses, les accompagnants sont super contents et les gamins ils ne veulent pas partir et puis quand ils reviennent, ils sont hyper contents donc je pense que c’est assez évocateur du résultat.
Ils sont curieux, ils posent des questions hyper pertinentes, je veux dire, ils ont soif d’apprendre quoi !
Quand ils nous ont planté, à l’époque, les fèves dans la serre là, puis en plein champ, mais ils étaient trop contents de pouvoir les planter, de savoir que la fève, c’était des grosses graines.
Enfin, moi ça m’avait touché ce moment-là.
Quand ils sont revenus là, ils ont pu les manger donc ils étaient contents aussi et du coup, ils découvrent aussi vu que c’est à la ferme et puis qu’ils ont participé, tout ça, ils se laissent aller à goûter des trucs.
Je leur ai fait manger du chou-fleur cru ou du chou Kale cru…
Les parents qui accompagnent, ils disent : « T’as intérêt à les manger à la maison maintenant que tu les as goûtés crus et que tu aimes ! »
Les petits pois aussi… C’était drôle !
Les animaux de la micro-ferme pédagogique
Du coup, pour les écoles, on a mis ça en place. C’est des petits enclos ludiques.
On a des poules d’ornement qui sont en autonomie, elles peuvent sortir quand même. On avait cloisonné au départ ; c’est pour quand il y a les enfants, mais sinon, on laisse ouvert. Elles tracent dans le jardin et puis des petites lapines aussi c’est que des lapines. Comme ça, on n’a pas de surpopulation.
On a des petits poussins là… on a eu des naissances, c’est la période, c’est le printemps. On les a mis là pour pas qu’ils se fassent trop embêter. Des petits piou-piou. C’est trop chou.
Leur changement de stratégie sur le poulailler principal de la ferme
Le poulailler qu’on avait construit en palette a rencontré ses limites quand on a augmenté le nombre de poules. Ce n’était pas encore énorme, on est passé juste à une trentaine de poules et en fait, on a trouvé les limites pas tant sur la place, là, la taille est cohérente.
Par contre, la surpopulation a fait qu’on a eu un développement de poux : des poux de poules ; les poux rouges.
Dans le poulailler en bois, c’était une lutte infernale. C’est un poulailler maintenant en acier galvanisé, c’est moins joli que le bois évidemment, mais par contre, ça rencontre beaucoup d’avantages.
Déjà, il n’y a plus d’interstices et du coup, dès qu’on voit qu’il commence à y avoir une attaque de poux, bon ben là, l’acier a l’avantage de résister au feu, donc on passe au chalumeau et là, les poux, ils n’aiment pas.
Ça règle le problème assez radicalement.
Il n’y a pas de diminution de ponte. Elles ne se font pas embêter, ça, c’est chouette.
Oui parce que quand il y avait vraiment une surpopulation de poux, on voyait, elles étaient en anémie, la crête n’était plus rouge.
Là, elles sont en super bonne santé.
Elles sont contentes.
On a un fond en caillebotis. Du coup, les excréments passent à travers puis nous on peut les récupérer pour réintégrer les fientes au jardin… Voilà…
Gestion des animaux sur la micro-ferme : les ânes et ces coquines de chèvres
Les chèvres ont déménagé parce que déjà on a des ânes et du coup, elles tiennent compagnie aux ânes…
Bébert et Alto ! Bébert le gris et Alto le foncé et puis les chèvres qui sont toujours là, ces coquines !
Je dis ces coquines parce qu’elles nous ont fait des bêtises quand même, malgré tout.
Là, on les avait dans l’ancien poulailler, elles arrivaient toujours à s’échapper quand même et donc là, on a opté pour la clôture électrique. C’est ce qui est le plus radical.
On a eu juste un problème où ça a été débranché pendant un temps, on ne s’en était pas aperçu et du coup, elles se sont échappées.
Ça a été assez vite, elles ne se sont pas échappées huit jours, mais elles se sont échappées un après-midi.
On avait des jeunes arbres qu’on avait plantés, là, des scions qui avaient bien pris pourtant…
Ben voilà, un facteur limitant de plus.
La plantation de haies sur la micro-ferme, pour soutenir son extension
Parce qu’on essaie de mettre en place des haies entre chaque nouvelle parcelle qu’on incorpore dans le jardin.
Parce que là, on est sur une logique du coup extensive.
On agrandit un petit peu plus tous les ans le jardin, c’est en ça que je dis que c’est extensif.
Et à chaque fois qu’on agrandit, on remet une haie.
Le rôle des ânes sur la micro-ferme
Les ânes ont été acquis dans un objectif de les utiliser à la ferme. C’est des petites utilisations, on ne fait pas de la charrue, mais ils font des petits travaux de griffage.
On essaye là avec Bébert qui est un peu plus costaud à passer là, dans les rangs de patates, donc on s’essaye, on fait pas mal de bêtises, on arrache un petit peu les pieds tout ça, mais c’est fonctionnel quand même.
Il dit ça parce qu’il s’est entraîné sur une de mes planches où je venais de planter mes fleurs et puis voilà, ça a moins rigolé là !
Ce n’était pas vraiment droit quoi. Donc là, on fait les patates. Je préfère !
Et donc ouais bon, on fait avec moi qui ne sait pas faire, lui qui apprend et puis des outils qu’on a récupérés, il n’y a à peu près rien qui va bien, mais plus ça va, mieux ça va et je pense qu’on finira par arriver à un truc qui va !
Tu ne sais pas faire ? Tu avais quand même fait la formation traction animale sur les ânes maraîchers ! C’est hyper efficace. Si en plus de ça l’âne est éduqué ; c’est parfait.
Par contre après, les petits travaux de traction, s’il y a quelque chose à tirer, pour récolter les courges, on charge sur un chariot, et puis après, eux ils ramènent.
Ça évite les allers-retours à la brouette et puis voilà parce que l’année dernière, on a ramassé en Butternut et en Potimarron : pas une tonne, mais un bon 800 kg donc les allers-retours brouette, ça commençait à suffire.
Et là, ils sont efficaces et à chaque fois qu’on peut utiliser un âne, on économise le paysan ou le fermier du moins et puis on ne démarre pas le tracteur.
C’est plutôt bien.
La partie maraichage et cultures de la micro-ferme : ce qui a changé au fil du temps
Là, on rentre sur la partie vraiment jardin à proprement dit.
On était sur la partie accueil animaux.
L’année dernière, on a vraiment travaillé à fond sur les légumes. On en avait eu beaucoup. Ça nous a pris beaucoup de temps.
Nouvelles activités avec les plantes aromatiques, médicinales et petits fruits
Cette année, on a réduit la cadence sur les légumes parce qu’on s’est aussi beaucoup consacré sur la mise en place des aromatiques et sur une nouvelle activité aussi qu’on voulait mettre en place, c’est les fruits rouges : on va aller faire un tour.
Et donc, on a planté des framboises, des cassis, des mûres, des fraises, des rhubarbes et donc, on a pris un peu de retard sur les légumes et en plus de ça, on voulait en faire moins et il y a les conditions aussi du moment qui ne sont pas bonnes.
L’eau comme facteur limitant sur la micro-ferme
On a toujours un facteur limitant qui est l’eau sur le terrain et là cette année, plus que d’habitude puisqu’on est fin mai et il y a eu en trois mois peut-être deux, trois jours de pluie…
Au bout d’un moment, on peut pailler et faire ce qu’on veut pour garder l’humidité, mais il faut qu’elle soit là quand même au départ. On retarde en fait la période de plantation parce qu’on aimerait qu’il y ait des pluies et bon peut-être va falloir qu’on s’en occupe.
Féveroles, pucerons et coccinelles : la biodiversité au service de la micro-ferme
Et du coup, la féverole qu’on avait jetée à la volée, ça s’est éparpillé, on en a jusqu’au fond du champ.
Ça, c’est pas mal parce que mine de rien tu vois, ça fait de la masse et surtout en fait, c’est une légumineuse la féverole, qui arrive très tôt dans la saison, et du coup, elle attire une surpopulation de pucerons très tôt dans la saison.
Donc ce n’est pas problématique parce que c’est pas une plante qu’on mange ou qu’on utilise.
Par contre, vu qu’il y a une surpopulation de pucerons avant que tout le reste arrive, on a une surpopulation de coccinelles aussi qui arrive dans la foulée et quand on plante nos légumineuses à nous : les petits pois, les haricots, les fèves, bon ben… les coccinelles sont déjà là et en fait elles font le travail de gardien assez rapidement.
La grande serre maraichère gérée sans aucun travail du sol
Dans la grande serre qui était en construction la dernière fois. Donc là, elle est finalisée.
C’est ce qu’on avait dit, on faisait les tomates, les aubergines, les poivrons et donc là, on a une petite ligne de fraises sur le devant aussi.
Dans la serre, il n’y a jamais eu un outil de passé dedans.
C’était de la prairie et c’est resté juste avec l’apport de matière organique et bâchage et donc là, on fait les fèves, on les couche, on les bâche et on plante dedans.
Elles y sont depuis un petit moment. Et les tomates, il y a eu du foin dessous.
L’année dernière, on en avait mis trop du coup là, on a espacé cette année. On avait un pied de tomates tous les 50 cm, c’était beaucoup trop, c’était la jungle dans la serre.
Ça pousse énormément, les tomates qui montaient jusqu’au toit là, puis ça passait sous les fils de tente !
Du coup là, on en a mis un tous les mètres et puis on a placé les concombres cette année, on verra bien.
Et devant, on a mis des basilics dans les trous qui sont existants.
On a une terre qui est hyper meuble sans jamais avoir rentré un outil dedans.
Donc ça, c’est intéressant.
Les choix de Sophie et Yoann sur le brevet professionnel, les formations, le financement et l’organisation de leur micro-ferme
On n’a pas de formation agricole non plus au départ. On a failli, je m’étais inscrit et puis finalement on ne l’a pas fait. On a fait plein de petites formations, mais pas de BPREA.
On connaît des gens du coup justement qui ont fait ces formations-là…
Je trouve que ça formate beaucoup dans le sens où les idées de départ qui étaient permaculturelles se sont transformées en plan de financement avec ces trucs tout ça, etc.
C’est un truc sur lequel en fait, on en avait parlé la dernière fois, c’est essayer de faire sur du fond propre et sans passer par des banques. C’est un choix et une philosophie quoi ! Nous, ça nous convient.
Sans les banques et sans aides du département, tout ça, qu’on pourrait avoir, tu fais un BPREA et ils t’envoient le pognon. Par contre après derrière, tu as des obligations de rendements si ton banquier t’a prêté des sous, bon ben, il faut lui rendre.
Et pareil pour les aides, c’est à condition que.
Donc nous, en fait, c’est beaucoup plus long, mais ça nous offre une liberté qui est assez grande, dans le sens où si les haricots cette année, ça a été dévasté par les pucerons, on a perdu des semences de haricots : ça va, c’est compensable.
Par contre, il n’y a pas de banquier qui vient me dire…
Si tu as le banquier ou si tu as une obligation derrière, tu vas être tenté de retourner dans les vieux démons et de dire, bon bah, allez, c’est lequel le produit finalement qu’il faut mettre et puis bon c’est parti, après dans la boucle où quand tu commences comme ça à mon avis, après tu es bloqué.
On se laisse le droit de chercher des façons de cultiver différemment et ça c’est confortable.
Alors oui par contre, on travaille, j’ai un autre boulot à côté, on est souvent dans le jardin et plus ça avance plus on est efficient. Je veux dire, moins d’énergie pour le même résultat et donc ce qui nous permet, tu vois, de quand même rester une famille, avec des enfants, des activités à côté.
Toujours garder en tête les objectifs à travers ce projet de micro-ferme en permaculture
D’avoir le temps de prendre ce temps pour la famille, c’est l’objectif de départ, et ça, ça ne partira pas quoi. Et dès qu’on se fait un petit peu rattraper par l’envie d’être au jardin tout le temps ; parce qu’on est de grands passionnés tous les deux et c’est compliqué. Eh bien, à chaque fois, si ce n’est pas moi, c’est toi, si ce n’est pas toi c’est moi, on se dit : Oh là ! Tranquille, rappelle-toi pourquoi on fait ça et ça, c’est constamment.
On se le redit et puis c’est vraiment un objectif voilà.
Ça, c’est un des points justement tu sais qui est aussi dans la formation Permaculture Design, c’est définir les objectifs.
C’est quasiment un des premiers points de la formation et quand tu fais la formation tu le vois, tu le lis, tu fais ce que tu veux, tu passes au-dessus, tu dis : « Alors comment on fait pour faire des buttes ? »
Et bon en fait, c’est hyper important…
C’est un des points majeurs, ils appuient dessus, mais c’est vrai, on est parti, nous on avait quand même vu nos objectifs.
T’as beau être tous les deux d’accord sur la permaculture, sur les stratégies… on adore le jardin, on y passe tout notre temps et malgré tout, en fait quand on est parti, on a deux tempéraments différents et là, on se retrouve à être un couple mari/femme, un couple parents avec les enfants et ça c’est déjà une étape tu vois !
Tout le monde est d’accord avec ça et il y a le « couple jardin ».
On travaille en plus de ça, on est en plus collègues et du coup, on était parti en occultant cette partie-là de l’objectif.
Du moins des façons d’arriver à l’objectif et avec deux vitesses différentes.
Moi j’étais plutôt en mode bulldozer, on y va, on bouge tout dans tous les sens et Sophie plutôt avec des sensibilités, d’autres envies et en fait, c’était mal parti au départ.
Donc là en fait, ça nous a servi de leçon et du coup, on est reparti sur quelque chose de plus pérenne effectivement en termes de communication, on a ciblé et on voit où est-ce qu’on a nos limites et on se retrouve moins souvent dans ce type de problème là.
Ça fait un moment, c’est vrai, qu’on y est passé, mais ça fait un moment qu’on les a dépassés.
Une nouvelle organisation du rôle de chacun dans les activités de la micro-ferme
Moi j’ai bien décroché sur le pôle Maraîchage, on va dire ça, où tu as la main mise complètement. Moi je fais les petites mains et c’est vrai qu’avant on était vraiment à deux dessus.
Et maintenant qu’il y a les aromatiques, les fleurs, c’est vraiment moi qui ai la main mise là-dessus et tu es mes petites mains.
Et du coup, c’est vrai que c’est chouette comme ça.
Parce qu’on s’entraide dans nos deux activités qui ne sont en fait qu’une activité, mais on s’épanouit chacun de notre côté avec nos appétences et nos sensibilités.
Et après, on a un œil nouveau chacun sur l’autre : c’est chouette.
C’est hyper complémentaire et j’aime beaucoup ça.
Relier les différents espaces de la micro-ferme : des chemins à la fois physiques et spirituels
Ça rejoint… Tu sais ? Vous aviez fait une vidéo chez une autre élève du groupe permaculture et je me rappelle sa vidéo.
Elle disait qu’elle avait créé plein de coins, d’îlots, d’endroits et qu’en fait, tout était entré en place au moment où en fait, je sais plus qui lui avait dit ou avait fait remarquer, qu’il fallait faire des chemins et en fait tu vois, c’est ça.
Là c’est pareil, on était parti un peu… Voilà, les légumes, machin, on avait zoné et tout ça, et là tout se rassemble et puis aussi il y a…
Ça passe juste des fois par un chemin, ou un grigri, tu vois ?
Va comprendre pourquoi, dans un jardin, un carillon fait que tu te sens bien.
Un petit truc ou une phrase positive écrite quelque part et c’est là où tu vois…
Je ne sais pas comment dire, la lumière, elle rentre dans le jardin ! C’est ça !
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Permaculture Design
Cet article a été rédigé par l’équipe de notre Bureau d’étude Permaculture Design.